- Acest subiect are 48 de răspunsuri, 4 opinii și a fost actualizat ultima dată acum 2 luni, 2 săptămâni de _Maxim.
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SankiParticipant_MaximParticipant
Impresiile personale intarzie.
In lipsa albumului.
Care se face asteptat si tot mai dorit._MaximParticipantTeme, simboluri, metafore “bilaliene” in videoclipul trupei Yes “Owner of a Lonely Heart” din 1983, intre La Foire aux immortels (1980) si La Femme piege (1986)
_MaximParticipantIn videoclipul pomenit sunt chestii “dans l’air du temps”, pe care le gasesti cam peste tot intr-o epoca a agoniei comunismului, a triumfului manipularii maselor…
BLADE RUNNER, 1982, este, desigur, atat de iconic! 8) Asamblare de temeri tenebroase, sperante innaripate, de thrill futuristic…Si cica Ridley Scott se gandeste la un prequel…sequel? In fine, ne-am intoarce cu placere in universul carceral steam-punk-bio-ambiguu… amoral si umoral… Doar pentru a crede ca este unul inventat si nu unul real…asa cum se prefigureaza.
2019 nu este departe.
La fel, in povestile lui Bilal, ca in si cele realizate impreuna cu Christin, exista anticipari (pre-viziuni) ale unor evenimente sociale si (geo)politice.
_MaximParticipant“Sunt locuri, ca acesta, unde cerul si pamantul isi vorbesc; as putea spune ca stiu in ce limba vorbesc. Norii si solul isi schimba materiile, isi impreuna particulele, isi deschid si recicleaza fragmente de memorie. Cuvintele ploua, nevazute, alcatuiesc fraze, se joaca cu destinele-lor… Acest loc este un microclimat care se exprima in Shakespeare… Aici, cerul si pamantul vorbesc Shakespeare, eu stiu pentru ca sunt nebun.”
H.G. LawrenceDin cronica din Bodoi aflam ca povestea din Julia & Roem vine dupa apocaliptica inflamatie a planetei din Animal’z: cerul, pamantul, marile par sa se confunde, continentele nu mai sunt la locul lor, animalele salbatice rare si dezorientate. Dar Bilal se intereseaza aici de alta “inflamatie”, cea a iubirii, si intr-adevar autorul repune in scena Romeo si Julieta lui Shakespeare. Literalmente, sau aproape.”
Personajele se numesc, pe langa titularii Roem si Roem, Merkt (Mercutio), Tybb (Tybalt)…
“Drama in trei acte, dar cu un epilog plin de speranta, Julia & Roem sugereaza ca iubirea ar putea salva planeta… Idee draguta, dar cam naiva, mai ales pentru un Bilal care pana aici fusese foarte indraznet in tematicile sale.”
“Cu toate poeto-pocinogurile, albumul se citeste cu placere, suspensul intrigii imprumutate de la Shakespeare, asociate unui SF aspru – bine redat de un superb desen cu creionul pe hartie colorata – functioneaza perfect. Dar irumperea versurilor direct din piesa in gura personajelor (care-si dau seama de aceasta incongruitate !) este imediat rizibila. Si intregul apare artificial, putin orginal si mai ales pretentios.”http://www.bodoi.info/critiques/2011-05-06/julia-roem/47122
Coperta si primele 14 pagini, aici: http://www.bdgest.com/preview-870-BD-julia-roem-recit-complet.html
_MaximParticipantImpresia mai veche de auto-parodiere ramane dupa lectura.
Deseori, prin intermediul “trimisului special” al autorului in poveste, Lawrence, cititorul e facut complice: daca e ceva care “nu se lipeste”, personajul ne ia vorba din gura. De parca Shakespeare ar fi de vina!
Si celelalte personaje o fac. Ca atunci cand doua personaje, deja emo-metrosexuale, comenteaza asupra hainelor nepotrivite cu care se imbraca…In fine, Bilal lucreaza la o noua trilogie…de trilogii?
Acest volum ar fi al doilea.*Nu m-ar mira ca in cel de-al treilea, un personaj sa dea vina pe autor: “E povestea lui Bilal! Ce sa fac!?
*trilogia “Inflamatia”?
_MaximParticipantEnki Bilal, libéré des canons de la BD
On l’attendait, ce livre, curieux de voir s’il dissiperait le brouillard d’incompréhension et de malentendus qui s’est épaissi, ces dernières années, autour de l’œuvre d’Enki Bilal : par quels détours une splendeur formelle aussi indiscutable a-t-elle fini par servir un propos de plus en plus hermétique, parfois emphatique ou assez creux ? Il faut dire que l’incompréhension et les malentendus n’ont fait que prospérer, à mesure que les dessins de Bilal crevaient les plafonds dans les ventes aux enchères, jusqu’à atteindre des records absolus pour un dessinateur français vivant. De là à considérer que l’artiste avait vendu son âme au marché, il y a un procès d’intention que je ne ferai pas…
Ce livre, Ciels d’orage (Flammarion), n’aura pas été vain. Dans une série de conversations pilotées par Christophe Ono-dit-Biot, admirateur déclaré qui n’oublie pas d’être journaliste lucide pour aborder les zones d’ombre, Bilal parle comme il ne l’avait encore jamais fait. Pour un homme peu enclin aux confidences publiques, ce n’est pas anodin d’en apprendre autant sur ce qui l’a construit, d’où il vient et pourquoi cela a été décisif dans son approche artistique.
Avoir été le fils du tailleur personnel de Tito ne serait qu’anecdotique si plus largement, le jeune Enki (diminutif d’Enes), né à Belgrade en 1951, n’avait été « propulsé dans la vie depuis un pays particulier ». La Yougoslavie communiste, ni honnie ni idéalisée dans ses souvenirs, où il a joué enfant, dans un parc peuplé de tanks et de canons, le parc Kalemegdan, un lieu de mémoire voulu par Tito pour entretenir la flamme du combat victorieux contre le nazisme. C’était « une sorte de plaie ouverte interdite de cicatrisation. J’ai joué dix ans sur cette plaie ouverte, sur cette faille par où l’Histoire gémissait, et j’y ai joué à la guerre. » C’est ce décor qu’il reproduira à l’identique, dans son premier film, Bunker Palace Hotel, ce qui le conduit à dire aujourd’hui : « Je crois que tout mon travail est issu des souvenirs de Kalemegdan. » Sans rien éluder, ni la figure d’un père qui a tôt abandonné sa famille, ni l’exil en France, forcément traumatisant, Bilal pose les jalons autobiographiques qui pourraient être autant de clés d’une œuvre à dominante sombre, inquiétante, envoûtante, et plutôt pessimiste sur la nature humaine.
Sans indulgence pour ses coups d’essais (« dessin très vieux, scolaire »), il attribue son premier succès (Les Phalanges de l’ordre noir, 1979) au fait qu’il s’agissait « d’abord d’une mécanique scénaristique implacable », signée Pierre Christin. Sous l’apparente modestie, perce l’ambition à venir, ce parcours en solitaire que d’aucuns jugeront bientôt « visionnaire », et qui prend son élan avec La Foire des immortels. Un album-tournant, où se déploie un univers futuriste d’une invention visuelle éclatante, et qui ne se prive ni des ressorts d’une aventure captivante située dans le Paris de 2023, ni de la distance ironique qui fait entrevoir une satire décalée et nonobstant décapante du jeu politique à l’orée des années 80.
Bilal n’en démordra plus : il est « un acteur de l’imaginaire », et tout est dit ou presque. C’est évidemment plus compliqué que ça. La trilogie Nikopol, dont La Foire aux immortels constitue le premier volet, se charge de tout ce que Bilal imagine pouvoir apporter de neuf dans un univers de la BD rétréci, immature. On aura compris qu’il ne s’agit plus de dessiner pour ne rien dire. Du terrorisme radical dans la Tétralogie du Monstre aux apocalypses écologiques qui hantent les tout derniers opus (Animal’z et Julia et Roem), Bilal se portera sur tous les fronts où la catastrophe pointe, faisant sienne la formule de Paul Virilio : « Quand l’homme invente quelque chose, il invente aussi la catastrophe qui va avec. » C’est peu dire qu’il s’évertue à prendre de la hauteur. A rompre avec les canons du récit dessiné en envisageant que chaque case désormais autonome peut être un tableau en soi (et vendu comme tel, disent les mauvais langues…). A considérer, enfin, que « ce qui relève de l’imaginaire est à la fois un mystère et un refuge » et que c’est « à chacun de retrouver le sens, la cohérence. » Ce qui est risqué quand la connexion ne se fait plus entre l’intention et, par exemple, la relecture tarabiscotée de « Roméo et Juliette » dans le dernier opus, Julia et Roem…
Bilal revendique d’avoir abordé dans son travail « une somme astronomique de sujets politiques, idéologiques, religieux, artistiques, terroristes, écologiques… » C’est précisément là que le malentendu a pris racine. Le peintre Bilal (1) lutte désormais contre un médium aussi peu propice que possible aux idées abstraites. C’est sa liberté d’artiste qu’il défend, et il ne fera plus de concession : « Mon métier, ou plutôt ma fonction, c’est de ressentir et de créer à partir de ce que je ressens et nullement d’expliquer. » Bilal a pris le large. Qui l’aime le suive. Les autres peuvent lire Ciels d’orage, qui, à défaut de lever tous les malentendus, donne envie de replonger dans les chefs d’œuvre d’hier.
Jean-Claude Loiseau
Le 18 octobre 2011 à 11h50 – Mis à jour le 18 octobre 2011 à 13h14(1) Il prépare une exposition internationale de grands formats qui devrait voyager de Berlin à New York en passant par Tokyo et Pékin.
Ciels d’orage, d’Enki Bilal et Christophe Ono-dit-Biot, Flammarion, 19 €.
Le blog BD de Jean-Claude Loiseau
in TELERAMA
[sublinierile noastre]SankiParticipantAsteptam cartea asta, curiosi sa vedem daca el ar risipi ceata derutanta de neintelegeri care se ingrosa in ultimii ani in jurul operei lui Enki Bilal: prin ce devieri o splenodare formala cat si indiscutabila a ajuns sa serveasca unor povesti din ce in ce mai ermetice, uneori empatice [artistul isi mangaie personajele pe crestet, iar ele isi fac de cap, spre placerea ingaduitorului tatic, cum remarcam mai sus] sau destul de sterile [in ciuda unor piedici din absconse citate si asteptari mereu contrariate]? Trebuie spus ca deruta si neintelegerile au tot prosperat, pe masura ce desenele lui Bilal rupea tot la licitatii, pana la recorduri absolute pentru un desenator francez in viata.
De aici pana a considera ca artistul isi vanduse sufletul pietei, exista un proces de intentie pe care-l voi evita…Aceasta carte, Ciels d’orage (Flammarion), n-a iesit in zadar. Intr-o serie de conversatii pilotate de Christophe Ono-dit-Biot, admirator declarat care nu uita ca este jurnalist lucid pentru a aborda zonele de umbra, Bilal vorbeste cum n-o mai facuse pana acum. Pentru un om care nu face confidente publice, nu este fara importanta sa afli ce l-a format, de unde vine si de ce aceasta a fost decesiv in devenirea artistica.
Faptul ca este fiul croitorului personal al lui tito n-ar fi decat anecdotic daca tanarul Enki (diminutiv pentru Enes), mascut la Belgrad in 19551, n-ar fi fost “propulsat in viata dintr-o tara speciala”.
Iugoslavia comunista, nici urata nici idealizata in amintirile sale, unde s-a jucat in copularie intr-un parc plin de tancuri si tunuri, parcul Kalemagdan, un loc de rememorare prin care Tito a vrut sa mentina flacara luptei victorioase impotriva nazismului. Era “un fel de rana deschisa interzisa cicatrizarii. M-am jucat zece ani pe aceasta rana deschisa, pe aceasta falie pe unde istoria gemea, m-am jucat de-a razboiul.” Acest decor a fost cel reprodus identic in primul sau film, Bunker Palace Hotel, ceea ce-l face sa spuna astazi: “Cred ca toata munca mea a venit din amintirile Kalemagdanului.” Fara a omite nimic, nici figura unui tata care si-a abandonat devreme familia, nici exilul in Franta, inevitabil traumatizant, Bilal traseaza jaloane autobiografice care ar putea sa fie tot atatea chei ale unei opere dominant sumbre, nelinistitoare, coplesitoare si mai degraba pesimiste asupra naturii umane.
Fara indulgenta fata de incercarile lui (“desen foarte vechi, scolaresc”), el atribuie primul succes (Les Phalanges de l’ordre noir, 1979) faptului ca era vorba «mai intai de o mecanica scenaristica implacabila”, semnata de Pierre Christin. De sub aparenta modestie, razbate ambitia viitoare, parcursul solitar pe care unii curand il vor considera vizionar”, si care-si ia avant cu La Foire des immortels. Un album de cotitura, in care se desfasoara un univers futurist al unei inventii vizuale explozive, si care nu se lipseste de resorturile unei aventuri captivante situate in Parisul anului 2023, nici de distanta ironica care face sa se intrevada o satira decalata si in acelasi timp necrutatoare a jocului politic din zorii anilor 80.
…
(va urma)SankiParticipant…Bilal nu se dezminte: el este “un actor al imaginarului”, si asta nu este tot. Este evident mai complicat de-atat. Trilogia Nikopol, din care La Foire aux immortels constituie prima parte, va cuprinde tot ce Bilal isi imagineaza ca poate aduce nou universului BD restrans, imatur. De-acum intelegem ca nu mai e vorba de a desena pentru a nu spune nimic. De la terorismul radical din Tetralogia Monstrului , pana la apocalipsele ecologice care bantuie ultimele carti (Animal’z si Julia et Roem), Bilal va fi pe toate fronturile amenintate de catastrofe, asumandu-si formula lui Virilio: “Cand omul inventeaza ceva, el inventeaza si catastrofa aferenta.” El se straduieste sa se detaseze. Sa se desprinda de canoanele povestirii desenate, considerand ca fiecare caseta de-acum autonoma poate fi un tablou in sine (si vandut ca atare, spun carcotasii…). Sa gandeasca, in fine, ca “ceea ce tine de imaginar este un mister si un refugiu” si ca “fiecare n-are decat sa gaseasca sensul, coerenta.” Ceea ce este riscant cand conexiunea nu se mai face intre intentie si, de pilda, recitirea imbarligata a lui “Romeo si Julieta” in ultima sa carte, Julia et Roem…
Bilal revendica abordarea in opera sa a unei “sume astronomice de subiecte politice, ideologice, religioase, artistice, teroriste, ecologiste…” Tocmai aici neintelegerea a prins radacini. Pictorul Bilal(1) se lupta acum cu un mediu atat de inadecvat si imposibil ideilor abstracte. El isi apara libertatea de artist si nu va mai face concesii: “Meseria mea, sau mai bine zis functia mea, este de a resimti si recreea plecand de la ceea ce resimt si nu de a explica.” Cine-l iubeste, il urmeaza. Ceilalti pot sa citeasca Ciels d’orage, care, daca nu inlatura toate neintelegerile, macar iti face pofta sa te arunci din nou in lectura capodoperelor lui de altadata.
Jean-Claude Loiseau
18 octombrie 2011 la11h50 – Reactualizat 18 octombrie 2011 la13h14(1) El pregateste o expozitie internationala de formate mari care ar urma sa calatoreasca de la Berlin la New York trecand prin Tokio si Beijing.
_MaximParticipant“Balciul nemuritorilor”
Eu nu strivesc corola de minuni a lumii
şi nu ucid
cu mintea tainele, ce le-ntâlnesc
în calea mea
în flori, în ochi, pe buze ori morminte.
Lumina altora
sugrumă vraja nepătrunsului ascuns
în adâncimi de întuneric,
dar eu,
eu cu lumina mea sporesc a lumii taină –
şi-ntocmai cum cu razele ei albe luna
nu micşorează, ci tremurătoare
măreşte şi mai tare taina nopţii,
aşa înbogăţesc şi eu întunecata zare
cu largi fiori de sfânt mister
şi tot ce-i neînţeles
se schimbă-n neînţelesuri şi mai mari
sub ochii mei-
căci eu iubesc
şi flori şi ochi şi buze şi morminte.
(1919-1980…)i.a.tParticipantAsta mi-a picat mie la bac, de era sa-l pic 😆
Poate daca avea si atunci ilustratiile lui Bilal…SankiParticipantPai, sa stii!
Manuale alternative, fara o punere in pagina misto, fara ilustratii agațatoare, si doar cu noi “personaje” si fara altele, scoase-n suturi, si cu zdrente de materii didactice de magazie si zoaie de cadavre didactice, nț! alea nu-s alternative!
Sunt manareli, reglari de conturi si îngânări idioate și bălbâieli ideologizante de cocalari intelectuali!
Sau intelectuali cocalari, nu stiu, fir-ar al dracului!_MaximParticipantAvem o problema 😉 cu imaginea. Cu reprezentarea artistica.
Avangarda are o problema cu imaginea inghetata de canon, si sfarseste in clasicizarea in timp.
Ca o revolutie sociala, care mascheaza o necesitate, controlata sau nu. careia supunerea este massiva si nestramutata, hrana ei fiind nutritorii ei, nu beneficiarii.Divagam?
Mereu.
Este inflacararea creionului care cauta LINIA ici si colo, in tarcoale de fum imbatator 🙂 aaah…Este momentul de excitement, care ma duce cu gandul la “batranul”, vesnicul batran D.I. Suchianu: momentul acela al iutirii de sine, inainte si dupa calmul rece si perfect al “canonizarii”.
Bilal abandoneaza canonul specific benzii desenate, cum se spune mai msus, si placerile tineresti si vinovate pentru clasicizarea in ilustratia-tablou de sine-statator.
Reprezentarea ajunge o prezentare a de-savarsirii sinelui: Eu nu explic, eu sunt si prin existenta mea cu stradaniile ei imbogatesc lumea…
Am fost tentat sa caut prin cartile din biblioteca un paragraf din scrierile maestrului bataii de joc-tot-pe-loc, al indecentei hore imponderale, referitor la aceasta sintagma, dar, hello! avem Internatul acum!… Din pacate, n-am primit decat un result la searchul meu
…Dar dintre toate aceste sensuri, cel mai interesant, mai profund e acela de a juca ceva, adica a accepta o lege noua care chiar se si numeste “regula jocului”. O regula alta decit cea a vietii curente. O regula mult mai stricta, mai neiertatoare. In viata reala, violarea legii scapa, vai, asa de des nepedepsita. Pe cind la joc, orice calcare se pedepseste pe loc, chiar si cind esti Smith sau Nastase. Orice out sau fileu se pedepseste pe loc, fara apel. La fiecare schimb de mingi avem un pedepsit.
Si totusi, in ciuda acestei rigori draconice, aceasta regula a jocului e o liberare. Caci este alta. Este una noua, alta decit cea a vietii curente, alta decit anosta monotona, plicticoasa regula din viata reala. Asa ca, cu toata rigoarea ei, regula jocului e o evadare, o destindere. S-apoi ai ales-o tu. S-apoi o poti, tot tu, da dracului, cind vrei.http://www.ziaruldeiasi.ro/editorial/cu-d-i-suchianu-despre-ris-i~ni3f0l
Val GHEORGHIU, Ziarul de Iasi_MaximParticipantMai departe…
Inca un album? despre ce? fauna, flora… ecologie, in general…?
Nici, nici, nici… sau mai mult: O expozitie despre mecanumalitate!Pierre Christin
scenaristul lui Enki bilal in anii 70-80, pentru Légendes d’aujourd’hui, Les Phalanges de l’Ordre Noir si Partie de chasse, flmat de E.B. in muzeu, despre fascinatia machetelor:
http://enkibilal.arts-et-metiers.net/mecanhumanimal-vu-par/pierre-christin-et-michel-archimbaud/Si Enki Bilal despre noua sa aventura interstitiala
http://www.dailymotion.com/video/x10e3t5_mecanhumanimal-rencontre-avec-enki-bilal_creation?from_related=related.page.ext.behavior-meta2http://enkibilal.arts-et-metiers.net/
Revenim cu imagini inedite ❗_MaximParticipant“Nu ma intrebati cum am facut fotografiille din expozitie. Era interzis.”
(a suivre)
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