Lumea BD – Corespondente

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    Mesaje
  • #1509 Răspunde
    Cristina
    Participant

    Let me tell you nothing:

    Quimby the Mouse de Chris Ware. Prima band? desenat? pe care am strâns în bra?e, singura cu care a? vrea s?-mi adorm copiii, prin defini?ie o carte magic?, cu labirinturi, surprize, imagini fermecate. Parc?-ar fi cusut? cu aur ?i culeas? din stele. De la Little Nemo in Slumberland n-am mai avut o senza?ie de beatitudine în fa?a unei benzi desenate.
    Noapte bun?, vise frumoase!

    #1510 Răspunde
    Cristina
    Participant

    Saptamâna asta cutreierând librariile cu spor, m-am trezit cam nedumerit? de succesul pe care-l avea volumul reunind seria Black Hole de Charles Burns, aparut? în Franta la Delcourt, în noiembrie 2006. Uitasem doar? puterea efectului post-Angouleme, care stimuleaza nervos vânzarile de BD în Franta. Anul acesta, sub influenta tratamentului prescris de Herr Trondheim, premiile au fost mai întelept distribuite si mai putin disecate pe categorii inutile ca în anii precedenti. Sub titulatura Les Essentiels, au fost alese câteva volume printre care si Black Hole, traducerea franceza a seriei, aparuta în volum în 2005 la Pantheon Books, odata cu terminarea episodului 12.
    M-am bucurat, doar mai bine mai târziu decât niciodata. Seria începuta în 1995 a avut un drum anevoios spre succes. Povestea tenebroasa, angoasanta a unor adolescenti ale caror vieti sunt tulburate de aparitia unei boli cu aparenta transmitere sexuala, teen plague sau bug, cum este e ea numita, care face ravagii numai printre tineri.
    N-am dus seria pâna la sfârsit, am luat câteva volume, însa nu cronologic, dar ce-am parcurs din alb&negrul dantelat, are un iz straniu, paroxistic si maladiv, se palpeaza un topos claustru, invadat de prezenta acestui bug, trimitând simbolic nu numai la SIDA, dar si la orice alta plaga comerciala, comportamentala care cuprinde spiritele tinere si în formare.
    O sa ma las dusa de val si de sindromul Angouleme, o sa însfac cartulia cu banderola&înscris mare, si o sa ma contaminez integral.

    #1511 Răspunde
    _Maxim
    Participant

    Un inedit si bine documentat site depre…pirateriile lui Tintin, realizat de Francois Tetevide
    TINTIN AU PAYS DES PIRATES
    http://tintinpirates.free.fr/

    #1512 Răspunde
    Cristina
    Participant

    Ce e mic, albastru si nu-l cumpara nimeni?
    Un album experimental de banda desenata…
    bine nu orisicare, ci unul albastru semnat de Lewis Trondheim. Dar afli asta de-abia dupa ce-ai întors coperta rabatabila, ca aripioarele de la Always, a unei cartulii în format de buzunar dispretuitor soldata la 1 euro, în disperare de lichidare de stoc. Cu gândul ca ma aflu întru posesia unui exemplar super limitat, îl liberez din mormanul de ghiduri turistice rebut printre care zacea. Amazon îmi confirma, albumul este indisponibil. Rara avis sau ratare pur si simplu?
    Concluzia lecturii:
    Magistrala inutilitate albastra sau viata unei forme unicelulare si traseul sau de la pata de culoare, diluare, diviziune, repoducere, reviziune, pâna la reducere la o alta forma elementara – un punct alb.
    Bleu/Albastru sau absenta creionului, a desenului, a liniei. Totul este liniste si culoare, pata, forma nedefinita, amorfa, o întoarcere la sursele picturii, ale materiei, ale suportului-pensula si paleta de culori. Le refus de la ligne claire? Sa fie acest mic albastru un manifest ascuns?

    #1513 Răspunde
    Sanki
    Participant

    ?
    niste “planse” putem vedea?
    🙂

    #1514 Răspunde
    Cristina
    Participant

    Si la început a fost albastru:

    #1515 Răspunde
    Cristina
    Participant

    O carte de bucatarie a benzii desenate, un ping-pong prelungit între Eisner si Miller despre retetele si ingredientele benzii desenate, aparut la Dark Horse în 2005 dar de care aflu acum datorita aparitiei traducerii franceze. Înca n-am cumparat/citit nici una din versiuni. Dar coperta franceza în alb si negru ma atrage mai mult decât cea omagial-comemorativa a editiei Dark Horse.

    #1516 Răspunde
    _Maxim
    Participant

    BD si animatie si cinemahttp://www.telerama.fr/cinema/M0707231048207.html
    La nouvelle bande des cinés
    Apres Marjane Satrapi et son “Persepolis”, d’autres dessinateurs, comme Joann Sfar ou Lewis Trondheim, adaptent leur travail a l’écran. Entre les deux formes de création, une idylle est née.

    Un jour, Le Chat du rabbin a avalé un perroquet. Depuis, il parle. Cinq tomes de savoureuse palabre philosophique, au creux des années 30, d’Alger en Ethiopie, de la poussiere des villes a celle du désert. Le félin ***é ne cesse de causer, de Dieu, de la folie des hommes, avec son maître, avec un grand lion sentimental, avec un serpent plein de mortelle compassion… Mais cette fois, c’est différent. Il va parler, et on va l’entendre. Le voir étirer sa curieuse silhouette sur grand écran. Une aventure animée que Joann Sfar, auteur de la bande dessinée, s’apprete a conduire lui-meme. L’annonce a ete faite pendant le dernier festival de Cannes, alors que Marjane Satrapi présentait en compétition officielle l’adaptation de sa propre BD, Persepolis, coréalisée avec Vincent Paronnaud. Sfar et Satrapi se connaissent bien, ils ont été révélés par le meme éditeur, L’Association, emblématique de cette fameuse “nouvelle bande dessinée”, qui, depuis les années 90, a vivifié et réinventé le genre. Voila que la meme année, ils viennent au cinéma. Et dans des conditions a faire pâlir beaucoup de réalisateurs chevronnés. Pour son grand projet, Sfar dispose d’un budget de 15 millions d’euros. Quant a Satrapi, elle a atteint la consécration du premier coup. Prix du jury, Persepolis est le premier dessin animé récompensé a Cannes depuis Dumbo en 1947. Et un vrai succes populaire.

    Mais ces deux-la ne sont pas les seuls de leur génération a avoir sauté le pas. Blutch (Sunnymoon…, Waldo’s Bar) participe en ce moment a un film d’animation collectif tres attendu et tres mystérieux, dont seul le titre est connu: Peur(s) du noir. Riad Sattouf (Pascal Brutal, No sex in New York) travaille a l’adaptation pour le cinéma de Retour au college, sa caustique chronique de l’adolescence. Quant a Lewis Trondheim (Lapinot et les carottes de Patagonie, Les Petits Riens, Ile Bourbon 1730…), il déborde de projets et rédige, entre autres, le scénario d’Allez raconte, long métrage inspiré de la série qu’il a cosignée avec José Parrondo. Si les ponts entre bande dessinée et cinéma existent depuis longtemps, ils n’ont jamais paru aussi fréquentés, aussi engageants. Il faut dire que cette pépiniere d’auteurs prolifiques représente une vraie aubaine pour le milieu du cinéma. “La bande dessinée est le domaine narratif le plus libre actuellement, et donc le plus riche, affirme Lewis Trondheim. Alors forcément, les producteurs viennent y piocher des talents.” Joann Sfar analyse cet engouement: “Pour les gens de l’audiovisuel, ces histoires-la ont déja fait leurs preuves aupres d’un public. Le Chat du rabbin était une étrangeté quand il est apparu ; maintenant, il a assez de crédit pour qu’on me donne les moyens de bien le faire.”

    Mais on ne décide pas a la légere de faire bouger ses personnages, de les partager avec une équipe, bref, de leur faire subir, mine de rien, une révolution. “Il y a un gros travail de deuil, explique Trondheim, qui a déja une longue expérience de l’animation pour la télévision. Il ne faut pas paraphraser mais transformer. Les dialogues ne sonnent pas pareil selon qu’ils sont écrits ou prononcés. Les scenes d’action peuvent devenir fades. Et il y aura encore des modifications dues a l’animation, a la voix des acteurs, a la réalisation, etc. Chacun va vouloir mettre sa touche. Parfois, la mayonnaise prendra, parfois non. Difficile de gérer un tel travail de groupe.” Quasi impossible pour Manu Larcenet (Le Combat ordinaire, Retour a la terre, Nic Oumouk): “En BD, c’est moi qui décide de tout, du premier jet a la mise en couleurs. Le cinéma, c’est un art du compromis, et ça, je n’y arrive pas. J’adorerais en faire mais il faudrait que je sois tout seul…”

    Autre dilemme: choisir entre l’animation et la prise de vue réelle. Diriger un film avec de vrais comédiens ? “Plutôt me faire couper les fesses par un trancheur a jambon !” s’exclame Lewis Trondheim. Moins radical, Christophe Blain aurait adoré voir son Isaac le pirate en chair et en os: “On m’avait proposé d’en faire un film stylisé, façon Jean-Christophe Averty. Malheureusement le projet ne s’est pas monté…” Pour Le Chat du rabbin, actuellement en préproduction, Sfar a tranché, lui, en faveur de l’animation: “La BD est déja une maniere de tordre le dessin. Ça m’intéresse de le tordre aussi vers le mouvement, de le faire parler.” Il s’apprete ainsi a mettre en œuvre des partis pris bien a lui: “Des dessinateurs iront en Afrique, sur les traces du chat, pour remplir leurs carnets de croquis. Et ce sera l’un des seuls dessins animés a bénéficier du concours d’un chef opérateur, qui nous dira où placer la caméra. Ça peut sembler absurde en animation, mais dans Le Chat du rabbin, la référence au cinéma est constante, qu’il s’agisse de Pépé le Moko, de Casablanca, ou d’œuvres plus modernes comme Halfaouine, l’enfant des terrasses. Je voudrais que ce soit un vrai spectacle cinématographique. Car dans la BD, toute notre imagerie est façonnée par le cinéma. Pour chacun de nos albums, on pourrait citer dix références.” Mais etre influencé par le cinéma ne signifie pas tenter de l’imiter. Le cinéma est un faux ami, selon Sfar. “L’idée que dans l’image il y a un avant-plan et un arriere-plan est incompréhensible pour un dessinateur. Nous, on trace tout avec la meme ligne…” Lewis Trondheim renchérit: “De nombreux auteurs font des albums en “singeant” le cinéma. En fait, ils ne font qu’imiter des story-boards, ou du roman-photo dessiné.”

    C’est autrement, donc, que cette génération-la convoque le septieme art dans ses pages. Riad Sattouf évoque Fellini ou Rob Reiner, mais aussi les voix de doublage françaises des années 70-80: “Quand je fais une BD, j’essaie de faire résonner dans ma tete les timbres d’acteurs comme Francis Lax [comédien de doublage, la voix de Hutch dans Starsky et Hutch]. Pour le personnage de Pascal Brutal, j’imaginais ce que dirait une voix off dans un vieux film postapocalyptique: “Le fûtûr, un mooonde d’une vio-lence insoup-çon-née…”“ Manu Larcenet, inconditionnel des Monty Python, David B. (L’Ascension du Haut Mal), fou de Melville, Christophe Blain (Gus), épris de western classique, avouent aussi travailler sous influence. “Ils ont une culture cinématographique impressionnante”, confirme Sophie Quetteville, libraire au MK2 Quai de Loire, qui propose une fois par mois, en partenariat avec Dargaud, “Ciné BD”, un rendez-vous original: “On demande a des auteurs qui ont une actualité en BD de choisir un film en lien avec leur album, ou plus largement avec l’esprit de leur travail.” Et avant la projection, l’auteur explique au public son choix, tandis que les planches de sa BD s’affichent sur grand écran. Pour que les noces du cinéma et de la BD aient meme leur album faire-part, Joann Sfar s’en est allé “croquer” le dernier festival de Cannes: Croisette paraîtra a l’automne. Sur place, Sfar a adoré Les Chansons d’amour, de Christophe Honoré: “On a un point commun: il vient du livre, moi de la BD. Je vois toujours d’un bon œil les littéraires qui s’approprient l’image.”
    Cécile Mury

    #1517 Răspunde
    _Maxim
    Participant
    #1518 Răspunde
    Sanki
    Participant

    Inca o statueta cu Gotlibus Gai-Luronis Rex Aport! 😆 😆 😆

    #1519 Răspunde
    _Maxim
    Participant

    Bonjour a tous

    AtelierBD a fait évoluer son systeme de formation a distance pour la passer sous forme de modules.
    A cette occasion et durant tout le mois de septembre, le tarif de notre formation a distance bénéficie d’une remise assez intéressante.
    Seulement, il ne reste plus beaucoup de jours pour en profiter, mais c’est encore possible si vous faites votre demande rapidement car c’est la date de votre demande d’admission qui sera prise en compte.

    Pour en savoir plus sur ce nouveau fonctionnement, rendez-vous sur notre site
    http://www.atelierbd.com

    Cordialement
    Thierry MARY
    AtelierBD

    L’Iconograf SARL
    e-mail:
    web: http://www.atelierbd.com
    tél. +33 (0)3 88 32 00 82
    4, rue de Mutzig
    67000 STRASBOURG
    FRANCE

    #1520 Răspunde
    _Maxim
    Participant

    SUPERMAN, UN EROU EVREU
    LE MONDE | 24.10.07 |
    Personne ne pourra plus l’ignorer apres avoir visité l’exposition que le Musée d’art et d’histoire du judaisme, aParis, consacre ala bande dessinée: Superman est juif. Ne pas le savoir ne change rien au plaisir pris ala lecture des aventures du super-héros. Mais en prendre connaissance permet de mieux saisir comment, et pourquoi, la minorité juive aux Etats-Unis a utilisé la bande dessinée pour, dans une premiere phase, raconter sa propre histoire, puis modifier, de maniere aussi inattendue qu’imprévisible, la culture populaire de son pays d’accueil.

    Conçue de maniere chronologique, l’exposition permet de saisir facilement ce phénomene. Les premiers dessins datent du début du XXe siecle, quand industrialisation et immigration étaient al’origine des grands mouvements de populations. De 1910 a1921, les immigrés arrivés aEllis Island, et parmi eux une forte population de juifs d’Europe centrale, racontent dans la presse leurs premiers pas en Amérique, leur vie quotidienne et le choc des cultures dans les quartiers new yorkais du Lower East Side, du Bronx ou de Brooklyn. La presse écrite, alors média de masse, publie des comic strips (bandes dessinées en quelques cases). Les quotidiens en yiddish Die Varhayt ou Der Forverts, dont les tirages sont énormes, publient les cartoons de Samuel Zagat ou de Zuni Maud.

    En exposant aussi des dessins de Milt Gross, de Rube Goldberg et d’Harry Hershfield (Abie the Agent ou Homeless Hector), l’exposition montre que aux Etats-Unis, dans la période qui sépare la Grande Dépression de la guerre froide, l’industrie de la bande dessinée devient en grande partie juive, et dépasse de loin le simple cadre de la presse yiddish, pour toucher l’imaginaire populaire.

    Les illustrateurs et scénaristes juifs privilégient l’industrie du “comic book”, conscients que les portes d’acces de la publicité et de l’édition leur sont souvent fermées. Ce qui a implications esthétiques indéniables, théorisées par le dessinateur Will Eisner. Celui-ci voit dans l’apparition du super-héros, apartir du succes de Superman, en 1938, l’expression d’un particularisme juif. “Le golem, une créature d’argile façonnée par un rabbin pour protéger les juifs de Prague, selon une légende juive du XVIe siecle, est le précurseur de la mythologie du super-héros. Les juifs, persécutés depuis des siecles en Europe, avaient besoin d’un héros capable de les protéger des forces obscures. Siegel et Shuster, les créateurs de Superman, l’ont inventé.”

    De fait, presque tous les créateurs de super-héros sont juifs, originaires d’Europe centrale: Bob Kane (Batman); Will Eisner (Le Spirit); Jack Kirby (Les Quatre Fantastiques, Hulk, les X-Men); Joe Simon (Captain America) et Stan Lee (Spiderman).

    ROMANS GRAPHIQUES

    Logiquement, Superman croise le fer avec les nazis, suivi plus tard par Captain America et Les Quatre Fantastiques. Ce qui apparaît, dans un premier temps, comme un désir de voir les Etats-Unis s’investir dans le second conflit mondial et, plus tard, comme la réparation fantasmatique d’une catastrophe – la destruction des juifs d’Europe – qu’aucune armée alliée n’a pu éviter.

    Quand “l’homme d’acier” détruit le mur de l’Atlantique et la ligne Siegfried bien avant le jour J, le ministre nazi de la propagande, Joseph Goebbels, s’écrie lors d’une réunion: “Superman est juif !” Ce qui était une insulte doit être pris aujourd’hui pour une évidence.

    Le parcours de l’exposition fait aussi la part des évolutions de la BD et de ses “avatars mémoriels”, selon l’expression de Laurence Sigal, directrice du Musée, qui donnent différentes visions du passé juif.

    Bien apres la célebre couverture de la BD de 1944, La bête est morte ! d’Edmond-François Calvo – dont l’original est présent dans l’exposition -, on retrouve ces traces de la mémoire et notamment de la Shoah dans le graphic novel. Ce terme forgé par Will Eisner en 1978 pour désigner son livre Un pacte avec Dieu désigne une BD qui veut faire oeuvre littéraire. Le “roman graphique” est ainsi devenu un genre apart et reconnu dans la BD, attirant des auteurs en prise avec la littérature de la mémoire.

    Outre Art Spiegelman et son Maus (oeuvre récompensée par un prix Pulitzer), outre encore Ben Katchor, Robert Crumb, Jules Feiffer, etc., on (re)découvre dans cette exposition de jeunes auteurs comme Bernice Eisenstein ou Miriam Katin, dont les autobiographies dessinées renvoient ades événements historiques rarement décrits par la BD (le proces d’Eichmann, par exemple).

    Cette exposition intitulée “De Superman au Chat du rabbin” fait aussi des incursions dans la BD d’humour et les pastiches de Gotlib, dans les légendes et les contes traditionnels revus aujourd’hui par Joann Sfar ou dans les tribulations des anti-héros underground d’Aline Kominsky. L’exposition montre enfin la façon dont un auteur comme Hugo Pratt, passionné par la kabbale, utilise les signes hébraiques dans son oeuvre. Autant de facettes singulieres du mariage entre BD contemporaine et judaisme.

    “De Superman au Chat du rabbin, bande dessinée et mémoires juives”. Musée d’art et d’histoire du judaisme, Hôtel de Saint-Aignan, 71, rue du Temple, Paris-3e. Tél. : 01-53-01-86-48. Mo Hôtel-de-Ville. Du lundi au vendredi de 11 heures a18 heures, le dimanche de 10 heures a18 heures. Jusqu’au 27 janvier 2008. 5,50 €. Sur Internet : http://www.mahj.org.
    Cinq ans de travail, des recherches multiples

    Cinq ans : c’est le temps qu’il a fallu pour préparer l’exposition, recenser et trier dessins et crayonnés rares, originaux et rééditions de planches BD dans des archives privées ou publiques, en Europe et en Amérique du Nord surtout. “J’avais au départ l’intention de montrer le travail de deux auteurs, Ben Katchor et Will Eisner, explique Anne Hélene Hoog, la commissaire de l’exposition. J’ai eu le feu vert pour monter une exposition historiographique sur BD et judaisme.” Soit quelque 230 oeuvres retenues sur les 370 sélectionnées a priori. Anne Hélene Hoog s’est ingéniée aretrouver les supports originaux, souvent abîmés: “Ce qui m’intéresse, en plus des themes traités dans ces différents strips, c’est la matiere de ce papier, de cette mémoire éphémere.”

    #1521 Răspunde
    _Maxim
    Participant

    Hey Comics Fans,

    A big announcement in Top Shelf land: Variety announced today that Bruce Willis has signed on to star in the Disney/Touchstone adaptation of Robert Venditti and Brett Weldele’s THE SURROGATES, to start production in February 2008. To read the entire article at Variety, just click here:
    http://www.variety.com/article/VR1117976216.html?categoryid=13&cs=1

    Jonathan Mostow (“Breakdown,” “U-571,” “Terminator 3”) will direct, based on the screenplay adaptation by Michael Ferris and John Brancato
    (“Terminator 3,” “The Game”). The film will be produced by Mandeville Films’ David Hoberman and Todd Lieberman, Brownstone Productions’ Max Handelman and Elizabeth Banks, and Top Shelf Productions.

    “‘The Surrogates’ is a mind-bending and brilliantly provocative piece of fiction,” says Mostow. “I am thrilled to be involved in bringing it to the big screen.”

    In addition, Venditti is midway through scripting the second installment in
    the graphic novel series, titled THE SURROGATES: FLESH AND BONE, with Weldele returning as artist. The new graphic novel is slated for a 2009 release.

    To see more information on the trade paperback of THE SURROGATES, click here:
    http://www.topshelfcomix.com/catalog.php?type=3&title=528

    And to see the details of the sale we’re running through the end of
    November, click here:
    http://www.topshelfcomix.com/catalog.php?section=specialdeals

    Congrats to Rob and Brett, as this should bring tons of well-deserved attention to their amazing graphic novel!

    Your friend thru comics,

    Chris Staros
    Top Shelf Productions
    PO Box 1282
    Marietta GA 30061-1282
    USA

    #1522 Răspunde
    _Maxim
    Participant

    CORTO (Cristian Loghin), Ciubi (Alexandru Ciubotariu) apar in magazinul BD Aargh! din Cehia:
    http://www.10waystogetagirl.com
    Scenár a kresba: Cristian Loghin

    Bouchni m?!
    Scenár a kresba: Alexandru Ciubotariu

    #1523 Răspunde
    DreamWave
    Participant

    “Voeux” de la familiile Yves si Hermann Huppen!

    Un Craciun Vesel de la Alain Damman, nepotul caricaturistului BOSC

    Felicitare de la desenatorul macedonean Aleksandar Sotirovski


    Felicitare de la Pif (Mircea Arapu)

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